Le Commandant Pauline Rougier est de retour !

Il y a des matins comme ça ! Levé d’un bon pied, le café à un goût plus fort que d’habitude. Un coup d’œil dehors pour constater que le ciel voilé et laiteux de la veille a laissé place à un soleil léger qui vous caresse à travers les vitres du bureau.
C’est le jour ! Aujourd’hui, Pauline reprend du service !

Un roman existe sous plusieurs formats : électronique et papier que les lecteurs connaissent bien. Mais aussi dans un format de travail, sorte de collection de textes, de notes gribouillées ici et là, d’idées jetées sur des papiers divers et de documents de recherche. Mais il existe surtout dans l’imaginaire de l’auteur, dans son cinéma intérieur, quand les scènes qui tournent encore et encore dans sa tête donnent vie aux personnages et permettent aux détails qui donnent corps à l’ensemble de se préciser, avant d’être jetés sur le papier.
Voilà, c’est ce matin ! Après avoir imaginé et construit l’histoire, m’être mis dans la peau des gentils et des méchants des traîtres et des assassins, je suis prêt !

Ce matin, le premier chapitre à vu le jour. Hammad, le jeune migrant pakistanais à entrepris son voyage vers l’Europe, Kevin à pris le volant de son camion, suivi de Cos, le roumain déjanté, en route vers le désastre.
Puis Pauline, dans sa voiture de service sans clim, arrive pour constater l’impensable… La chaleur plaque tout le monde au sol. Ce mois d’août bât tous les records de chaleur.

“Le Mal du Pays” remet le Commandant Rougier de l’Antiterrorisme au centre d’une affaire de trafic d’armes, alors que s’ouvre, à Paris sous un soleil de plomb, une conférence sur les migrants, dirigée par le Président Lavalette.
Jamais très loin, mais toujours dans l’ombre, Fouad Al-Naviq et son fidèle homme de main Khalid Alzadi guettent le moment le plus propice pour mener à bien leur nouveau projet et se venger de Pauline et des autres héros de “La menace Blackstone” .

“Le Mal du Pays” , le nouvel opus de la série “Commandant Pauline Rougier” , vous fera transpirer à essayer de suivre les acteurs de l’histoire et les voir se débattre sous une chaleur implacable.